Le soleil se couche sur le flanc
La terre tourne autour du monde
Tout est-il perdu ?
Qu’en pensez-vous ?
Que ressentez-vous ?
Le monde est-il devenu fou ?
Où allez-vous ?
Vers où ?
Vers quoi ?
Comment le voyez-vous ?
Votre Monde ?
Votre Terre ?
Comment la voyez-vous ?
La regardez-vous ?
L’avez-vous seulement déjà vue ?
De quelle couleur est-elle ?
Pour vous ?
Le savez-vous ?
Seulement, le savez-vous ?
Est-elle brune, blanche, jaune ?
Et puis, peu importe sa couleur.
La regardez-vous ?
La ressentez-vous ?
La voyez-vous ?
Elle, elle vous voit.
Elle, elle vous regarde.
Elle, elle sent votre odeur,
Elle voit votre couleur.
Mais cela lui importe peu,
votre odeur ou votre couleur.
C’est votre saveur qui compte.
Tout comme vous savourez
ses fruits,
Elle vous savoure.
La terre est à vos pieds.
Mais encore vous faut-il penser
à vous agenouiller,
Pour la remarquer.
Elle, elle est à vos pieds, toujours.
Elle vous ressent, à chacun
de vos pas.
Même si vous ne vous
en doutez pas
Même si vous n’y pensez pas.
Pensez à tout cela,
A chacun de vos pas.
Vous marcherez autrement,
Vous serez beaucoup plus conscients.
Vous lui ferez vos excuses, parfois.
Si vous l’avez trop écrasée,
Si vous l’avez abusée,
Si vous avez oublié de la regarder.
Ne l’oubliez pas,
Elle est là,
Sous chacun de vos pas.
Même si vous ne la voyez pas,
Elle, toujours, vous voit.
Le soleil se couche sur le flanc
La terre tourne autour du monde
Tout est-il perdu ?
Qu’en pensez-vous ?
Que ressentez-vous ?
Le monde est-il devenu fou ?
Où allez-vous ?
Vers où ?
Vers quoi ?
Comment le voyez-vous ?
Votre Monde ?
Votre Terre ?
Comment la voyez-vous ?
La regardez-vous ?
L’avez-vous seulement déjà vue ?
De quelle couleur est-elle ?
Pour vous ?
Le savez-vous ?
Seulement, le savez-vous ?
Est-elle brune, blanche, jaune ?
Et puis, peu importe sa couleur.
La regardez-vous ?
La ressentez-vous ?
La voyez-vous ?
Elle, elle vous voit.
Elle, elle vous regarde.
Elle, elle sent votre odeur,
Elle voit votre couleur.
Mais cela lui importe peu,
votre odeur ou votre couleur.
C’est votre saveur qui compte.
Tout comme vous savourez
ses fruits,
Elle vous savoure.
La terre est à vos pieds.
Mais encore vous faut-il penser
à vous agenouiller,
Pour la remarquer.
Elle, elle est à vos pieds, toujours.
Elle vous ressent, à chacun
de vos pas.
Même si vous ne vous
en doutez pas
Même si vous n’y pensez pas.
Pensez à tout cela,
A chacun de vos pas.
Vous marcherez autrement,
Vous serez beaucoup plus conscients.
Vous lui ferez vos excuses, parfois.
Si vous l’avez trop écrasée,
Si vous l’avez abusée,
Si vous avez oublié de la regarder.
Ne l’oubliez pas,
Elle est là,
Sous chacun de vos pas.
Même si vous ne la voyez pas,
Elle, toujours, vous voit.
Pourquoi ?

Jour de vent, jour de pluie. Où va-t-on, où allons-nous ?
Jour de pleurs, jour de lune, jour de soleil.
Où va-t-on, où est la Vie ?
Comment saurais-je ? Comment peut-on savoir ?
Et nous cherchons en vain, en vain.
Pourquoi cherchons-nous là où peut-être il n’y a rien à chercher ?
Et pourtant, nous cherchons encore et encore.
Jour de vent, jour de pluie.
Pourquoi la pluie, pourquoi le vent ?
Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi demain ?
Pourquoi toujours, pourquoi jamais ?
Le vent, la pluie. Nos amis, nos ennemis.
Et toi le soleil. Notre chaleur, notre chauffeur, notre brûleur.
Et toi, pourquoi ? Pourquoi n’es-tu pas là aujourd’hui ?
Pourquoi étais-tu là hier ?
Reviendras-tu ? Quand ? Où ? Comment ?
Es-tu ami de la lune ?
Es-tu ami de la pluie et du vent ?
Comment vous arrangez-vous entre vous ?
Comment décidez-vous de tout cela ?
En vous faisant la guerre ? Non, certainement pas.
Comment faites-vous pour vous partager si généreusement l’Espace,
votre espace, notre espace ?
Montrez-nous, montrez-moi ?
Vous, vous savez que tout est juste.
Vous, vous savez vous effacer les jours où ce n’est pas Votre jour.
Vous, vous osez vous montrer, illuminer, briller, souffler quand c’est
votre jour, quand c’est votre tour.
Et certains jours, vous faites un magnifique concert qui nous illumine
de toutes les couleurs du Ciel. Entre le Ciel et la Terre.
Cet arc de Cercle qui nous protège.
Cet arc de cercle qui nous ouvre à toutes vos lumières.
Le beau, le peu.
Le beaucoup, le plein.
Le tout, le rien.
La joie, les pleurs.
L’amour, la colère.
Tout, tout, tout.
Tout est dans tout.
Le soleil est dans la lune.
La lune est dans le soleil.
La terre est dans le ciel.
Le ciel est dans la terre.
La mer est à la terre.
La terre est à la mer.
Père, mère, tout est dans tout.
Joie, paix, chaleur.
Amour, beauté, colère.
Tout est dans tout. Rien ne cache rien, rien ne gâche rien.
Ne cherchez pas. Ne cherchez plus.
N’effacez rien, n’effacez plus.
Tout fait partie du tout.
Soyez en paix avec cela. N’y changez rien.
N’expliquez pas. Ne comprenez pas.
Regardez. Simplement regardez.
Observez comme un enfant observe et admire le travail de la fourmi.
Observez, observez et vous sentirez.
Sentez, sentez. Oui, c’est cela, sentez.
Tout va vous tomber du Ciel.
Mais si vous résistez à la pluie, si vous résistez au soleil,
vous recevrez sans rien garder, sans rien regarder.
Vous ne verrez point. Alors que tout sera là. Tombé à vos pieds.
Vous n’aurez plus qu’à ramasser et amasser pour les jours de pluie.
Pour les jours de grands froids.
Cessez d’avoir peur. Cessez cela.
On ne peut vous prouver ce que vous ne pouvez encore voir.
Car vous ne verrez que lorsque vous croirez.
Oui, vous VERREZ lorsque vous croirez.
Que vaut la vie si elle n’est vraiment vécue ?
Alors que perdez vous à laisser tomber tout ce qui vous perd ?
Libérez-vous, allégez-vous.
Vous comprendrez le jour où vous ne chercherez plus à comprendre.
Vous sentirez, vous resplendirez. Et vous n’aurez plus besoin
d’expliquer, de vous rassurer, de vous apaiser.
L’enfant blotti au creux du sein de sa mère, sent. Il sent la paix, il sent
l’apaisement et il se détend complètement.
Il n’explique rien, il ne cherche pas, il PREND, il prend et se détend.
Il est heureux, il est en paix, il est en joie.
Ne dit-on pas qu’il sourit aux anges ?
Souriez aux anges, souriez. Vous êtes filmés ! Vous êtes aimés ! Vous
êtes choyés.
Vous êtes dans l’abondance. Nous y veillons.
Ouvrez vos bras, votre corps, votre cœur pour recevoir.
Nous avons tant à vous apporter. Vous avez tant à nous donner.
Vous avez tant à vous donner.
Allez en paix. Aimez la pluie, le soleil, le vent, la lune. L’Univers, votre
univers.
Paix, paix, paix.